Qu’on parle de l’UDPS, parti au pouvoir. Qu’on parle des institutions de l’État, un spectacle désolant est affiché, à ce jour où l’ennemi ne sait qu’occuper des villages, comme en 1997.
À l’UDPS, le temps de se concentrer pour, non seulement faire pression au gouvernement et parlement de la république pour une bonne approche de la guerre, mais aussi et surtout de mobiliser les forces vives de la nation et redynamiser la vigilance par des sensibilisations citoyennes, ce parti Locomotive du pouvoir se vexe dans la distraction de » hôte toi de là que je m’y mette » contre son secrétaire général. Et celà à la déception des plusieurs congolais et de ses adversaires politiques qui ne croient plus au combat de ce plus grand parti politique qui inspirait hier confiance pour le changement.
Du côté des institutions, l’indifférence, la traîtrise et le manque d’une cohésion dans les actions face à cette question de la guerre, où visiblement à Kinshasa les gens ne se préoccupent que de leurs positionnements, en lieu et place de pousser aux actions et actes patriotiques afin de vaincre l’ennemi. C’est ce qui dénote le caractère hypocrite de ceux qui prétendent être collaborateurs et partenaires de Félix Antoine TSHISEKEDI. Le parti qui l’aiderait à trouver un bon appuie, est lui aussi plongé dans ce jeu de l’ennemi. Dans cette allure, l’avenir risque incertain. Alerte !